La BD engagée… ça engage à quoi?

FBDM

La BD engagée… ça engage à quoi?

«C’est bien beau de faire des livres mais, des fois, il faut aussi changer le monde!» Voilà ce qu’on peut lire sur le site de la maison d’édition Pow Pow qui, en février dernier, collaborait à la semaine du développement international en proposant une série de BD en lien avec les thèmes de l’évènement. Car la BD engagée, c’est ça : une oeuvre vivante qui traite des problèmes d’inégalités, d’iniquité, de changements climatiques, de santé, de guerre, des droits des enfants et nouveau-nés et tutti quanti. 

Bref, on change le monde une page (dessinée) à la fois. Saviez-vous, par exemple, que le FBDM posera ses pieds (de table) le 29 mai à l’hôpital Notre-Dame afin d’y proposer des BD sur le thème de la santé? Plusieurs artistes y seront, dont Karine Gottot (Les Dragouilles, Hop!), Mathieu Lampron (Les Mutamatak), Maxim Cyr (Les Dragouilles, Hop!) et Jocelyn Jalette (La République assassinée des patriotes). Une partie des profits de l’activité – qui se tiendra de 11h à 14h – sera versée à la Fondation du CHUM au bénéfice du Centre intégré de cancérologie. La BD engagée, c’est aussi ça !

Ceux qui viendront faire un tour au Festival ne seront pas en reste! Une table animée le samedi 30 mai à midi par Jean-Michel Berthiaume nous présentera les réflexions d’auteurs chevronnés à propos de la BD engagée et de leurs démarches personnelles. Au menu : Richard Suicide (Chroniques du Centre-Sud), Alexandre Fontaine-Rousseau (Les Cousines vampires), Simon Spruyt (Junker) et Samuel Cantin (Vil et misérable). Voilà qui donne faim!

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